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Le Blog de Véronique
Articles
9 Visite aux vendeurs côté rue, Regine et Moses
2017-12-29Visite aux vendeurs côté rue, Regine et Moses
2017-12-29Le balcon continue à se remplir de plantes; bananier, bougainvillier, fougères, tomates, menthe, palmier, bambous, paw paw, manguiers, etc. Il va falloir instaurer un concours du plus beau balcon comme en Haute-Savoie !
On achète la terre directement creusée dans la terre !
8 Black and white !
2017-12-29Black and white !
2017-12-29C'était trop tentant !
7 Nairobi National Park : un parc en danger
2017-12-29Nairobi National Park : un parc en danger
2017-12-29À 7 kilomètres de Nairobi, ce fabuleux parc. The park has acquired the nickname ‘Kifaru Ark’, a testament to its success as a rhinoceros (kifaru in Kiswahili) sanctuary. The park is home to the world's densest concentration of black rhinos.
Levés à 5h30, nous sommes parmi les premiers au guichet. La lumière est parfaite. Les premiers animaux apparaissent dans un paysage de savane avec les immeubles de Nairobi en fond d'écran. Étonnante cette proximité avec la grande ville !
Le soleil se lève sur Nairobi et son parc. Un article du Monde du 05.02.2015 titre "Au Kenya, le parc national de Nairobi au bord de l’asphyxie" . La réserve naturelle protégée de 117 km, la seule au monde à abriter des milliers de grands mammifères au sein d'une capitale, est menacée par l’urbanisation galopante de la ville. Patricia Heather-Hayes, dite « Trish » témoigne : « On trouve de plus en plus de déchets, portés par le vent depuis les habitations aux alentours ou jetés par les touristes, s’agace-t-elle. Il y a peu, j’ai vu un serpent mourir, coincé dans une canette de soda et incapable d’en ressortir. » Avec les membres de l’association des amis du parc (Fonnap), dont elle est la vice-présidente, elle mène une fois par mois une vaste opération de nettoyage bénévole". Moi-même, j'ai été très surprise de voir les visiteurs abandonner leurs déchets aux aires de pique-nique. Incompréhensible et combien triste!
Les rhinos noirs nous ont tourné le dos. Ce sera pour la prochaine visite. Le nom de « rhinocéros noir » est un emprunt de l'anglais « black rhinoceros » pour faire pendant à « white rhinoceros », mais les deux espèces sont en réalité gris foncé et ne se distinguent pas sur le plan des couleurs. De fait, ces appellations trompeuses proviennent d'une faute de traduction de l’afrikaans où wijde signifie large, mais a été confondu avec white, c'est-à-dire blanc. Les formes allemandes « à gueule large » et « à gueule pointue » sont au contraire les traductions correctes de l'afrikaans. Ces noms se rapportent à la lèvre supérieure : celle du rhinocéros noir est adaptée pour saisir le feuillage en l'arrachant tandis que celle du rhinocéros blanc est plate et convient mieux pour brouter de l'herbe. Les rhinocéros noirs ont un odorat excellent et une bonne ouïe. Les yeux n'ont au contraire que peu d'importance dans la perception de son environnement : à une distance de 20 mètres un rhinocéros peut à peine reconnaître une forme.
Élégante et majestueuse, voici dame girafe. Sophie nous apprend que lorsqu'elle se déplace, la girafe soulève en même temps les 2 pattes du même côté : on dit qu'elle marche à l'amble !
"Leurs parades nuptiales sont particulièrement spectaculaires. Les mâles hérissent les longues plumes de leur cou et gonflent leur œsophage qui peut atteindre 4 fois la taille normale, prenant un aspect bulbeux et très massif". De loin, voir ce grand oiseau gonflé nous a intrigués. Trop éloigné de nous pour une bonne photo, voici une image empruntée.
6 David Sheldrick Wildlife Trust - l'orphelinat des éléphants et les girafes de Rothschild
2017-12-25David Sheldrick Wildlife Trust - l'orphelinat des éléphants et les girafes de Rothschild
2017-12-25Sur la route des anciens quartiers coloniaux de Nairobi
Grâce à ma copilote Sophie, j'ai pris mon courage à deux mains et ... nous sommes parties en voiture direction Nairobi national Parc. Conduire dans Nairobi est une aventure - roulez à gauche, "du mauvais côté de la route", éviter les trous, surveiller les matatus coupant la route à tout instant, queue de poisson à votre droite et à votre gauche, éviter les passants qui traversent et patienter dans les bouchons, portières verrouillées et quelque peu angoissée.
Première étape : l'orphelinat pour éléphants.
Ils arrivent au trot et reçoivent leur biberon de lait.. Adorables ! Et vous pouvez en adopter un si le cœur vous en dit.
Dans la plupart des cas, leur mère a été tuée par des chasseurs ou est morte de faim suite à la sécheresse. Mais aussi, le plus souvent, ces bébés tombent dans les puits des Masais nous raconte David, un habitué du centre. Les bébés éléphants sont soignés puis, plus tard, réintégrés dans leur habitat naturel. Certains reviennent s'ils se sentent en danger et parfois devenus adultes, ils viennent présenter leur bébé au centre. On dit qu'une femelle éléphant vint déposer son bébé blessé et attendit à quelque distance que les gardiens le soignent.
La visite continue par le centre des girafes (African Fund for Endangered Wildlife) menacées d’extinction.
Le centre des girafes a vu le jour en 1979 quand le petit-fils kenyan d'un écossais, Jock Leslie-Melville et sa femme Betty créent un fond africain pour les espèces sauvages menacées. Ils capturent un girafon pour débuter un programme d'élevage de girafes dans leur propriété. C'est aujourd'hui encore autour de cette propriété que se trouve le centre des girafes. Le but du programme était de réintroduire la présence des girafes dans les parcs nationaux de Ruma et du lac Nakuru, ce qui a été un succès. Alors qu'en 1979, les girafes de Rothschild étaient en voie d'extinction et étaient au nombre de 130, on en compte aujourd'hui 300 grâce à l'élevage.
5 Central business district, un dimanche; Maasai market et City market
2017-12-18Central business district, un dimanche; Maasai market et City market
2017-12-18L'avenue Kenyatta est relativement calme. Ils sont tous à la messe me dit mon charmant compagnon. D'un immeuble, on entend hurler un prédicateur. "The cry of the Spirit" Apostolic Grace et truth Centre.
Direction le Maasai Market;
un soleil de plomb et un jeune "guide" qui nous colle aux trousses... On a mis 5 bonnes minutes à s'en débarrasser. Il paraît qu'il est connu pour sa ténacité. Avis aux amateurs!
Je n'ai toujours pas sorti mon Canon (trop gros pour passer inaperçu) et je suis déçue des photos prises avec mon iphone. Mais bon, il était midi, pas le meilleur moment pour les prises de vue ! Le marché est un véritable festival de couleurs. Et quel choix! Étoffes, paniers, bijoux, sculptures, peintures ...
Soudain, un stand de masques et de "headrest" (appui-têtes) accélèrent les battements de cœur de Tim et invitent à un petit voyage géographique de leurs origines; Kenya, Soudan, Ethiopie? Inutile d'essayer de lutter.
Et rebelote au City Market; après avoir négocié l'achat de mon chapeau made en Baobab, nous voilà repartis dans le monde des Headrest, démonstration à l'appui par le vendeur.
Vue d'en haut, c'est aussi un marché aux légumes, et à l'extérieur, marché de viande et de poissons.
La visite se termine par l'arrivage d'une camionnette remplie de roses !
Petit clin d’œil; au Hilton, on trouve de vieux skis en bois, et oui, il suffit de lever la tête.
4 On achète des meubles !
2017-12-16On achète des meubles !
2017-12-16Hier nous avons décidé d'acheter quelques meubles pour la terrasse. Zoé et Nina qui travaillent avec Tim au Haut Commissariat de Grande Bretagne nous ont recommandé un endroit le long de la Peponi Road, à côté du trop fameux Westgate Mall.
Des artisans y vendent toutes sortes de meubles en bois et en osier, des cages, des meubles à chaussures, à journaux, à vins, des coussins de couleurs, etc.
Rencontre avec Benson
On lui donne nos plans, dimensions. Il sort 3 vieux classeurs contenant les photos délavées des meubles fabriqués. Tim et Benson discutent le prix final. Benson fait les calculs sur son bras ! Comme on le complimente sur sa belle écriture, il nous raconte qu'il a étudié 3 ans à l'université pour devenir professeur mais qu'à l'époque de Daniel arap Moi, il était difficile d'obtenir un poste !
Nous serons livrés samedi prochain.
3 Côté cour, côté route
2017-12-15Côté cour, côté route
2017-12-15Côté cour : le matin les employés s'activent, balaient les feuilles mortes et arrosent les nombreuse plantes. Je les entends qui discutent et s'invectivent gentiment. La vie côté cour est paisible...
Coté route : C'est une autre histoire. La "Nairobi River" contourne le complexe. Lorsqu'il ne pleut pas, son lit s'assèche et les mauvaises odeurs commencent à envahir l'appartement... et les moustiques aussi.
Au-dessus, c'est la route, Waiyaki Way et Chiromo Road, bruyante et poussiéreuse
Au bord de la route, des vendeurs proposent des objets aux automobilistes pris dans les bouchons. Tim dit qu'ils vendent de tout, des oiseaux, des cravates, des photos de Jésus. Un sujet de reportage dit-il.
2 Première journée, premières découvertes
2017-12-14Première journée, premières découvertes
2017-12-14... des fleurs, de la verdure, le complexe est agréable, un îlot vert au centre-ville. Tim avait fait le ménage : avant mon arrivée, délicate attention.
Sur le balcon et dans l'appartement, il a commencé son projet : envahir notre vie de plantes; des plantes partout, achetées au bord de la route juste de l'autre côté de la rivière chez "son nouvel ami".
1 Le grand départ !
2017-12-10Le grand départ !
2017-12-10Bonjour à tous sur mon nouveau blog ! Je vais essayer de vous tenir au courant de mes aventures au Kenya : étonnements, remarques et coups de cœur vont jalonner ces pages tout au long de notre vie à Nairobi !